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Le porte-parole du gouvernement guinéen, Ousmane Gaoual Diallo, a exprimé des incertitudes quant à la tenue de l’élection présidentielle en 2025, malgré les engagements précédents de l’autorité militaire. Sous pression internationale depuis le coup d’État de 2021, les autorités de transition avaient promis un référendum constitutionnel et un retour au pouvoir civil avant fin 2024, mais aucun de ces engagements n’a été respecté. Début janvier, Diallo avait suggéré que des élections présidentielle ou législatives pourraient avoir lieu en 2025 après un référendum prévu probablement en mai.
Jeudi, il a toutefois nuancé ses déclarations, affirmant qu’il serait « impossible de réaliser toutes les élections en 2025 » et que le processus commencerait par un référendum constitutionnel avant la fin du premier semestre. Cette incertitude renforce les doutes sur la transition politique en Guinée, alors que la communauté internationale surveille de près la situation et que les tensions politiques continuent de croître.
A.P
